ET SOUTENIR LES VOCATIONS DANS L’ÉGLISE CATHOLIQUE
Je fais un donLorsqu’un jeune homme entend l’appel de Dieu et décide d’y répondre, il doit, pour devenir prêtre, suivre une longue formation humaine, spirituelle, intellectuelle et pastorale.
Pour que cette formation se déroule de la façon la plus complète possible et que les séminaristes formés aujourd’hui deviennent demain des ministres de la communion et de la mission, il ne suffit pas d’une institution, de professeurs et de directeurs spirituels : le peuple de Dieu tout entier est appelé à les soutenir !
Faites un don à l’Église en soutenant l’Œuvre des Vocations et contribuez à former les prêtres qui feront vivre et rayonner vos paroisses !
Alliez un geste de soutien à l’Eglise catholique avec une opportunité fiscale en réduisant votre impôt de 66 % du montant de votre don.
Chaque séminariste qui s’engage dans ses études doit pouvoir compter sur l’Eglise comme sur une mère, qui l’accueille, le nourrit, le forme et l’éduque à l’exercice du ministère apostolique. Il doit, pour cela, disposer des ressources matérielles nécessaires à sa formation.
Parce que la réponse à l’appel de Dieu ne peut être conditionnée par les moyens de celui qui le reçoit, l’Œuvre des vocations appelle à la générosité des chrétiens qui, par leur contribution financière, lui donneront les moyens de former les prêtres de demain.
Déduisez de vos impôts 66 % de votre don
Impôt sur le revenu (IR)
Vous pouvez déduire 66 % de votre don de votre impôt sur le revenu (IR) dans la limite de 20 % de votre revenu imposable.
EXEMPLE
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EXEMPLE
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Je fais un don IFIDès l’apparition des premiers séminaires en France, au XVIIe siècle, des bienfaiteurs se sont mobilisés pour prodiguer un soutien financier aux séminaristes dont les familles n’étaient pas en mesure de payer les études. C’est ainsi qu’est née en 1644 la Bourse cléricale, origine de l’Œuvre des Vocations.
Aujourd’hui, elle est missionnée par l’ensemble des évêques des diocèses d’Ile-de-France (Paris, Nanterre, Versailles, Pontoise, Meaux, Créteil, Saint-Denis et Evry) pour financer la formation de 130 séminaristes et propédeutes.
La formation d’un futur prêtre dure 7 ans. C’est un défi financier qui représente un budget de 5,5 millions d’euros par an.
Seuls vos dons nous permettent de le relever !
La répartition des coûts de formation
d’un séminariste
Ma vocation s’enracine dans le désir sincère d’accomplir la volonté de Celui que j’ai rencontré. Au Séminaire, j’essaye de vivre de la même dynamique. Cela implique de ne plus vivre tout à fait pour moi et parfois de me laisser bousculer de l’intérieur. Ainsi, unis au Christ dans la prière, je suis façonné pour lui correspondre. »
Axel,
séminariste pour le diocèse de Paris
Dieu s’est fait homme et appelle des hommes à sa suite pour le service de son Église. À bien des égards, le temps du séminaire est comme un grand Avent : un temps offert par l’Église pour nous préparer à accueillir le Christ. Avançons donc, que nos études et nos prières nous mènent à Lui et fassent de nous des témoins fidèles de son Amour. »
Timothée,
séminariste pour le diocèse de Versailles
Un des piliers les plus importants dans ma vie de séminariste c’est la prière. En effet la prière est au centre de ma vocation, c’est là pour moi le lieu de ma joie véritable. J’y tire tout ce dont j’ai besoin dans le discernement de ma vocation, mais d’abord j’y cherche avant tout Jésus et je lui demande de rendre mon cœur semblable au sien, c’est-à-dire capable d’aimer sans mesure. »
Hans,
séminariste pour le diocèse de Meaux